Alessandro Cassa, l'auteur qui fait lire les 9-13 ans !
Faites comme des milliers de jeunes lecteurs à travers le monde...
Découvrez l'histoire fantastique d'un univers abracadabrant, celui des habitants de Meadowfield et du Professeur Acarus Dumdell.
Les deux premiers tomes de cette série:
LE PROFESSEUR ACARUS DUMDELL ET SES POTIONS INCONGRUES...
LE PROFESSEUR ACARUS DUMDELL ET LES CHAUVES-SOURIS DE SLEEPING STONES...
Une série illustrée de l'auteur jeunesse Alessandro Cassa chez Alice éditions jeunesse.
LE PROFESSEUR ACARUS DUMDELL ET SES POTIONS INCONGRUES...
RÉSUMÉ DE L'INTRIGUE :
...Un journaliste dans un pub de Londres au début du XXe siècle, une mystérieuse Lady, une conversation autour d'une tasse de thé, des chauves-souris parlantes dans un cimetière... Alessandro Cassa nous plonge dans un monde à l'atmosphère particulière, voire atypique, où les destinées de ses personnages aussi loufoques que mystérieux, se croisent et s'entrecroisent. Bien des choses se colportaient au sujet des jumeaux Dumdell, l'un, apothicaire de bonbons, l'autre, malheureux inventeur de potions. Les commères des villages voisins disaient que c'étaient deux bien étranges personnages. Elles disaient aussi que le professeur fabriquait lui-même les bonbons de son frère. Et qu'il y mettait d'étranges ingrédients. Tout cela pouvait cependant s'expliquer. Mais – le pire de tout – elles affirmaient que ce sympathique professeur Acarus osait tester les effets de ses potions sur le villageois de Meadowfield en les attirant dans la boutique de son frère Zacarus. Même si certains effets bizarres se produisaient sur les habitants comme les commères le prétendaient, tout cela n'était peut-être qu'affabulation. Peut-être, car les petites filles se métamorphosaient en papillons, les arbres en gruyère et les chauves-souris se mettaient à parler....
(Suivre le lien pour lire quelques critiques)
L'ÉDITEUR PARLE AINSI DE CE ROMAN :
« Un décor qui ne doit rien au hasard, le goût du détail pittoresque, une syntaxe recherchée. Avec talent, l'auteur, Alessandro Cassa, nous plonge d'emblée dans un monde à l'atmosphère particulière, voire atypique, où les destinées de ses personnages – Acarus le Professeur, Zacarus l'apothicaire, Barnabus le vicaire, Lady Chastewick, Lord Andrew le chat, Monsieur Poc le hibou, etc. –, aussi loufoques que mystérieux, se croisent et s'entrecroisent. Le tout sur fond de vieille Angleterre charmante et surannée, entre Agatha Christie et Robert Louis Stephenson. Une vraie découverte qui nous vient du Québec. »
RECONNAISSANCES ET PRIX :
MENTION D'HONNEUR – Catégorie jeunesse dans le cadre des Grands prix littéraires de l'Association des auteurs de la Montérégie (Montérégie, Canada, 2014)COUP DE COEUR – Revue Libbylit (Bruxelles, Belgique, 2014) La section belge francophone de l'IBBY (International Board on Books for Young people) et du Centre de Littérature de Jeunesse de Bruxelles
COUP DE COEUR – SREJ Commission scolaire des Hautes Rivière (Québec, Canada 2014)
Ce roman est suggéré par l'Alliance Française de Quitto - Centre culturel et d'enseignement du français (Quitto, Équateur)
découvrir les critiques du roman dans les médias
QUELQUES ILLUSTRATIONS DES PERSONNAGES : LES NOTABLES DE MEADOWFIELD...




LE PROFESSEUR ACARUS DUMDELL ET LES CHAUVES-SOURIS DE SLEEPING STONES...
RÉSUMÉ DE L'INTRIGUE :
On savait le Professeur Acarus Dumdell occupé à chercher une solution au vacarme des chauves-souris, avec l'aide de son assistante Pistache. Mais on ignorait qu'il fabriquait une potion luminescente pour chasser les petits nuisibles ailés du village. Et ce ne sera pas sans conséquence... Rien ne va plus à Meadowfield où les habitants n'ont toujours pas retrouvé le sommeil. Rappelez-vous : Zacarus, en voulant porter secours à son ami le vicaire, a renversé malencontreusement une potion de son frère sur les petites chauves-souris de Sleeping Stones,qui, instantanément, se sont mises à hurler des contes d'horreur à travers le village. Depuis lors, le capital de sympathie des Fieldloviens envers les frères Dumdell est en chute libre. Mais, le professeur Acarus a dans l'intention d'aider ses concitoyens et amis en créant une potion de lumière. Pour trouver l'ultime ingrédient, il doit se rendre à Londres, lui qui n'est plus allé au-delà du cimetière depuis si longtemps ! Pendant ce temps, une société secrète anti-potion s'est formée à Meadowfield sous l'impulsion de l'aubergiste Jim et du jeune journaliste fouineur Ink Papermore. Leur volonté est de se débarrasser du Professeur Acarus Dumdell. Il est peut-être temps que le maire, le Colonel Fear Kingstoria revienne administrer son village... Mais le reconnaîtra-t-il ? La potion de lumière du Professeur s'est révélée efficace ! Un peu trop même... Et voilà Meadowfield envahie par une forêt vierge de végétaux en tout genre, stimulés par l'intense lumière qui règne jour et nuit sur le village...
L'éditeur parle ainsi de ce roman :
Le mystère qui entoure les jumeaux Dumdell s'épaissit, pour le plus grand plaisir des jeunes lecteurs qui retrouvent un professeur aussi maladroit et attachant que dans le premier tome. Les nouveaux personnages qui font leur apparition ne manquent pas de caractère non plus. Et les illustrations d'Alessandro Cassa dont émane une atmosphèreso british viennent idéalement compléter ce second opus. Bref notre sympathique auteur québécois récidive avec réussite et talent.
EN SAVOIR PLUS SUR LE ROMAN ET SUR L'AUTEUR
Distribution Amérique du Nord : DIMEDIA
Distribution Europe : VOLUMEN

Voici un fait vécu que je voulais partager avec vous.
Un beau moment. Un moment comme il nous en arrive rarement.
C'était il y a quelques semaines. Un jeune lecteur m'a beaucoup fait réfléchir alors que je signais son roman. Je terminais de lui dessiner un sympathique croquis des jumeaux Dumdell, quand il m'a demandé, sans détour :
- Je me demandais... Puisque le professeur Acarus Dumdell a vécu en Angleterre, est-ce que vous croyez qu'il a étudié à Poudlard, comme Harry Potter ?
J'ai tout de suite sourit. Puis j'ai été touché que mon singulier univers soit associé à une auteur de renom telle J.K. Rowling, mère d'Harry Potter. Quand j'ai levé les yeux vers lui, après avoir terminé mon croquis, j'ai vu qu'il était très sérieux. Et qu'il attendait une réponse. Alors quelque chose en moi s'est révélé...
Dans son imaginaire, il avait associé nos deux mondes, comme deux « réalités »... Et j'ai compris une chose essentielle ce jour-là. Une chose toute simple. Mais relativement puissante. C'est que les histoires finissent par exister. Vraiment. Qu'elles prennent vie, réellement, dans l'imaginaire des lecteurs : par la littérature. Et c'est une chose merveilleuse - peut-être un peu magique - que grâce à quelques mots couchés sur du papier, tout un monde (avec ses rivières, ses forêts, ses enchantements, ses héros, ses vilains, ses personnages, ses légendes, etc.) puisse se déployer dans l'esprit du lecteur. Ce sont eux, ce sont les lecteurs, qui maintiennent en vie nos personnages et nos récits.
J'avais vécu moi-même la même chose, en lisant le Seigneur des anneaux de J. R. R. Tolkien, ainsi que les œuvres de Jules Verne. J'y avais cru. J'avais vu leurs univers fantastiques prendre vie sous mes yeux. Mais maintenant que moi-même j'écris, je ne m'étais jamais arrêté à réfléchir à ceci. Jamais... avant ce jeune lecteur. J'ai donc signé son croquis avec attention, et j'ai répondu après quelques secondes de réflexion :
-Toi... qu'est-ce que tu en penses ?
Il m'a alors regardé droit dans les yeux. Il a levé les épaules, et m'a répondu avec un ton de certitude, sans détour, sans broncher, sans hésitation :
-Mais oui... Je pense bien que oui !
J'ai alors pu voir dans ses yeux tous les personnages qu'il faisait vivre grâce à son imagination. Je n'ai pas voulu briser ce monde imaginaire, alors je l'ai regardé et je lui ai assuré... qu'il avait certainement raison. Et il est reparti, aussi simplement qu'il était venu me voir. En souriant. Sans savoir ce qu'il m'avait apporté.
En fait, ce n'était pas une réponse qu'il voulait, je crois : mais plutôt la confirmation qu'il avait vu juste. J'ai donc voulu entretenir la magie en répondant par l'affirmative : car maintenant elle existait, cette magie. Plus que jamais.
Je n'ai jamais revu ce jeune lecteur. Mais je n'oublierai jamais cette rencontre. Et je l'en remercie aujourd'hui. C'est pourquoi je partage ceci avec vous. Pour le saluer, si jamais ce message se rend, par les hasards de la vie, jusqu'à lui.
En rentrant ce jour-là, je me suis dit que c'était probablement des questions que Tolkien, Perreault, Rowling et Vernes s'étaient posées. Et j'ai eu la certitude, que comme ce jeune garçon, ils auraient répondu oui ! Sans détour. Sans broncher. Sans hésitation.
Ce jeune lecteur était venu me voir car il croyait à l'existence de l'univers des jumeaux Dumdell. Et il voulait que je lui confirme. Mais après ma rencontre avec lui, c'était maintenant moi qui croyais à l'existence du Professeur Acarus Dumdell... parce que dans les yeux de ce jeune lecteur, j'avais eu la confirmation qu'il existait !
A.C.


